Le comité dirigeant de Trans-Academia nommé dernièrement par ordonnance présidentielle, exigerait 100$ à chaque chauffeur pour être engagé dans cet établissement, apprend-t-on d’un des candidats à l’embauche qui a requis l’anonymat par peur des représailles.
Bien qu’au courant de cette situation, cette corruption serait entrain d’être opérée sous un regard impuissant du Vice-ministre des transports qui assure l’intérim à la tête de ce ministère depuis la démission de Chérubin Okende. D’où, “qui ne dit mot consent”, dit-on en Français.
Cela laisse à croire que Marc Ekila sachant que ses jours sont comptés à l’approche du remaniement du gouvernement, l’intérimaire voudrait s’assurer une retraite pénarde.
Le Président de la République, le Premier Ministre, l’IGF et la Justice sont appelés à ouvrir l’oeil et le bon pour punir les auteurs de cet acte ignoble.