Le Ministre du Commerce Extérieur, Jean-Lucien BUSSA a été reçu, ce mercredi 5 mai 2021 au quartier général de l’Office Congolais de Contrôle ( OCC), situé au centre ville de Kinshasa, dans la commune de la Gombe.
Occasion pour le numéro un de l’OCC, Célestin Risasi, de féliciter le Ministre Jean-Lucien BUSSA pour sa reconduction à la tête du ministère du Commerce Extérieur dont il maîtrise les contours, ainsi que lui souhaiter un fructueux mandat.Célestin Risasi a fait l’état de lieux de son entité, résumé en trois grands défis majeurs à relever, à savoir: le déploiement des matériels de qualité de contrôle de la conformité ; les marchandises destinées à la consommation et les laboratoires modernes. Enfin d’affronter les pesanteurs du moment caractérisées par l’adhésion de la République Démocratique du Congo aux structures internationales du commerce dont notamment la ZLECAF et l’AGOA, l’OCC a émis le vœu de renforcer les capacités de son personnel question de faire face aux situations de l’heure en ayant des agents hautement qualifiés et outillés.
Pour Célestin Risasi, le Ministre du Commerce Extérieur Jean-Lucien BUSSA doit être l’interface de l’OCC auprès de l’exécutif national, en réussissant de faire voter des lois pouvant protéger et sécuriser cette entreprise de l’État face aux entreprises de même obédience qui ne cessent de naître.Le patron du Commerce Extérieur a promis de mettre la machine en marche pour rendre viable, fort et compétitif l’OCC, dans les enjeux internationaux.“ Pour ce mandat, j’ai tenu à placer l’OCC au coeur de cet enjeux économique national, africain et mondial. J’ai décidé de nous mettre devant nos responsabilités… Nous voulons que le travail se fasse encore mieux dans l’intérêt du peuple congolais. La qualité des produits intérieurs, la qualité des produits importés est gage de la sécurité de la santé publique. J’engage les résultats les plus performants”, a laissé entendre le Ministre du Commerce Extérieur Jean-Lucien BUSSA.Le Ministre interpelle les entités de sa juridiction à s’engager dans le schéma des résultats concrets, car estimant que lui même a l’obligation de réguler ce secteur afin de permettre aux mandataires de bien faire leur travail.
Patric KITOKO
source : Comexactu.net