Par Sarah Bukasa
La condamnation des violences provenait aussi du Parti de VItal Kamerhe. De nombreux acteurs réclament des sanctions exemplaires.
Le président de l’Union pour la nation congolaise (UNC) hausse le ton et condamne la profanation de l’église catholique ainsi que des attaques d’un groupe d’individus contre l’archevêché de Kinshasa, monsieur Fridolin Ambongo.
Dans un message de solidarité exprimé à l’endroit de l’église catholique, Vital Kamerhe craint que ces actes ignobles puissent plonger le pays dans le chaos.
« Profanation des lieux sacrés au Kasaï-Oriental, attaques contre le clergé et Tata Cardinal, discours incendiaires risquent de replonger le pays dans le chaos des années 60. Je nous invite à un sursaut patriotique pour la cohésion et bâtir un Congo où il fera beau vivre, sans exclusif » a t-il dit sur son compte Tweeter.
🛑Dénonçant le risque pour le pays de replonger dans le chaos des années 60, l'honorable @VitalKamerhe1 lance un appel : "Je nous invite à un sursaut patriotique pr la cohésion et bâtir un Congo où il fera beau vivre, sans exclusif. " https://t.co/fCpUPMtpt9
— Michel Moto (@MichelMoto1) August 2, 2021
«Un moment de déshonneur et de honte pour notre pays», selon une source sous le sceau de l’anonymat qui accuse le camp Tshisekedi
d’avoir encouragé les violences.