A la manière de Bernard Madoff l’Escroc du Siècle , PELE MONGO via sa société AGEMI , a obtenu à la zaïroise, plusieurs décisions judiciaires en sa faveur, pour un litige imaginaire et monté de toute pièce sur une prétendue disparition de ciments importés en 2013.
Il avait en 2013, obtenu sous RCE 00151 du 30 octobre 2014 que la SCPT lui verse les sommes de 218.500 USD au titre de manque à gagner et 50.000 USD au titre de dommages et intérêts .
Insatisfait de cette décision ,il reviendra à charge et obtiendra en appel, sous RCE A 013 une somme réévaluée à 3.417.000 USD.
Après avoir passé son premier tour de BINDO avec succès, un arrangement à l’amiable s’opère et en 2019, la SCPT lui verse la somme de 2.500.000 USD pour clôturer le dossier.
Curieusement, après que cette somme ait été versée sur les comptes de sa société AGMI à BGFI banque, PELE MONGO se décide de passer au deuxième tour de BINDO .
Il allègue insidieusement que son compte AGMI inscrit dans les livres de la BGFI n’était pas le bon compte et que la SCPT aurait dû payer sur un autre compte , mobile suffisant pour revenir à charge en allant en justice pour se faire dédommager une deuxième fois .
En réalité , PELE MONGO devait à la BGFI presque l’équivalent des 2.500.000 USD versé par la SCPT et par conséquent elle est entrée dans ses droits en bloquant la somme.
Dans le cadre de son BINDO et sur base de son deuxième litige monté de toute pièces, la SCPT est astreinte à payer 25000 USD par jour portant le montant global à ce jour à près de 50 millions USD
Nonobstant les difficultés de cette entreprise, l’on se poserait bien la question de savoir si la ministre de la justice n’est toujours pas revenue de vacances , comment pourrions-nous comprendre que de telles décisions de justice soient rendues dans un État de droit ? Bien que nous savons que Madame la ministre ne s’occupe généralement que des dossiers « pénaux », ne devrait-elle pas, dès lors qu’il s’agit d’une société commerciale dont seul l’état est actionnaire, avoir un œil sur les décisions judiciaires autant fantaisistes que fallacieuses.
La rédaction de IWEB suit ce dossier à rebondissement de près mais d’or et déjà il semble que la Cabinet LANDU aurait été désigné pour représenter la SCPT et mettre fin à cette supercherie.
La RDC selon la vision du chef de l’État doit devenir un véritable état de droit, l’état doit exercer le monopole de la justice sociale.