Le gouvernement rwandais a signé un accord avec une entreprise canado-allegmande la pour construire dans le réacteur nucléaire.
Animé par les appétits géopolitiques, le Rwanda tester une nouvelle technologie, peu coûteuse qu’un réacteur classique, pour développer système énergétique nucléaire, destinées notamment au continent africain.
Le premier réacteur de la jeune entreprise Dual Fluid Energy devrait être construit dans le district de Bugesera, au sud de Kigali. Un prototype, destiné à démontrer et à la recherche d’une nouvelle technologie peu coûteuse, explique directrice des opérations.
« Ça va nous aider à produire de l’électricité et de l’énergie à prix réduit. Un autre avantage, c’est que ce sera un petit réacteur modulable, donc facilement transportable et plus facile au niveau des opérations. Et donc il est parfaitement adapté à des pays comme le Rwanda ou d’autres pays africains qui n’ont pas forcément une infrastructure très développée.»
La construction de ce réacteur nucléaire devrait commencer dès le début de l’année 2024 Allant jusqu’en 2026. Elle doit être suivie par une phase de tests d’une durée de deux ans, avant une potentielle commercialisation de ces réacteurs dans les années 2030. Pour Fidel le directeur du Bureau rwandais de l’énergie atomique, créé en 2020, l’accueil de ce projet est un avantage considérable. «Cette signature souligne la volonté du Rwanda de rester une destination de choix pour les innovations actuelles et futures comme stratégie pour accélérer l’intégration de technologies innovantes dans le pays. »
Le Rwanda s’est engagé depuis quelques années dans le secteur énergétique, avec la signature d’une marmaille d’accords singés, en commençant par la Russie et la Hongrie, pour la formation l’encadrement des ingénieurs dans l’énergie nucléaire.
Par Josué Katika