Par Gédéon ATIBU
A l’heure où les langues se délient sur les travers des politiques en matière de mœurs, c’est au tour de Diomi Dongala de se retrouver dans des sales draps.
Cet acteur politque et président du parti Démocratie Chrétienne pensait savoir que la période était propice aux scandales sexuels sous le régime Fatshi.
Gracié par Tshisekedi après son arrestation suite au viol sur une mineure sous Joseph Kabila , Diomi Ndongala est à nouveau pris en fâcheuse posture d’une affaire troublante de tentative de viol. L’on croirait à un coup politique à l’époque de Kabila, or c’est dans ses habitudes de détruire les fillettes.
Le violeur avoue lors de son audition de n’avoir commis que des actes préliminaires, en contrepartie de 200$ remis à la fille, en guise de corruption morale.
A l’instant, il est détenu au camp Lufungula, après échec vaines tentatives de corrompre L’OPJ de la maison communale de Kinshasa.
Plusieurs affaires d’abus sexuels sur enfants mettent en cause d’ex-stars de la télévision, d’anciens parlementaires et députés. La police et les plus hautes autorités sont soupçonnées d’avoir longtemps fermé les yeux.