Par Queen Bondo, stagiaire
La Ville de Kinshasa n’est pas seulement la plus grande de la RDC, mais aussi un cercle infernal d’embouteillages.
Cette situation récurrente n’est plus à démontrer. Cependant, rien ne fait pour changer les choses.
La population de Kinshasa accuse l’Etat d’être le principal responsable et coupable, alors que les réalités sur le terrain n’innocentent aucune partie.
Entre les responsabilités sont partagées entre les conducteurs qui stationnent n’importe où, les policiers de circulation routière corruptibles ou même très corruptibles, et le ministère des Transports. Ajouter à cela le mauvais état des infrastructures routières.
Il n’y a pas moins coupable et la nécessité du changement s’impose. Le ministère des transports, voies de communication et désenclavement est appelé à mener des actions visant à faciliter la circulation dans la capitale Congolaise. Quant à la population et la police routière, le changement de mentalité est une nécessité.
Il y’a lieu de dire que le changement est le résultat d’efforts collectifs.