Par Gédéon ATIBU
Jean-Pierre Lisanga Bonganga craint une nouvelle fraude électorale. Un refrain qu’il a entonné après sa sortie du Gouvernement.
Le Président de la Dysoc qui soutient la vision de Martin Fayulu multiplie les critiques et alertes quant à une vaste fraude en préparation, même si les preuves fondées manquent toujours à l’appel.
» Nous disons non à toute manœuvre visant à entretenir la fraude électorale en 2023. Non à une modification partisane, conçue pour mettre en place une CENI dont les membres auront comme mission, du reste suicidaire, de préparer une victoire frauduleuse du candidat actuel au pouvoir en 2023”, a t-il déclaré.
Dans sa déclaration faite ce lundi 5 juillet, ce membre de la coalition genevoise dénonce avec fermeté le refus du pouvoir en place d’examiner toute proposition des réformes institutionnelles ou électorales pour une sortie de crise entraîné par un pouvoir illégitime.
Il s’agit bien entendu d’un nouveau défi pour bien des électeurs qui vont voter pour la première fois afin de résoudre la question d’alternative qui n’a pas encore trouvé satisfaction après celle relative à l’alternance politique au sommet de l’État.