Par Gédéon ATIBU
En RDC, les discussions sur la réforme de la CENI en cours agitent la classe politique. Le consensus autorise la balise des élections de 2023 au pays. La majorité au pouvoir et l’opposition butent encore sur quelques obstacles.
Face à l’impuissance historique des policiens congolais qui ne pensent qu’aux élections en lieu et place de travailler pour répondre aux aspirations les plus profondes du peuple , Jean-Jacques Mamba s’étonne du fait que « 2023 s’annonce très agité .On a l’impression qu’en RDC les élections sont le plus grand enjeu », a écrit l’élu de Lukunga dans la ville province de Kinshasa sur son compte Twitter.
Sans s’arrêter là, JJM l’un des rares personnalités publiques qui fait la politique par conviction liste les chantiers de développement sur lesquels on attend l’homme politique congolais.
« Nombre d’emplois créés, hôpitaux , infrastructures…Les chiffres ne parlent que des dépassements et excédents budgétaires. « La RDC pays des élections » doit devenir pays des réalisations », a-t-il exhorté.
Depuis l’avènement de son indépendance en 1960, le Congo ex-Belge, redevenu République Démocratique du Congo (RDC) après avoir été Zaïre, souffre de sa classe politique. Bien que l’Occident y ait une responsabilité avérée, les politiciens congolais sont les premiers coupables du marasme dans lequel s’enfonce leur pays.